Alors que je m'emmerdais tranquillement, Elisabeth prit alors l'initiative de nous kidnapper, moi, Liver - quel joli surnom - et Tony. Hanna, je m'ennuis! Viens on se casse! On prend notre coloc et Thony au passage question de vraiment faire le fête! Ah et au passage Oliver, la il a des vues sur toi! Je ne protestai pas, soulagée du tournant des choses - peut-être que nous allions commencer à nous amuser, finalement. Nous la suivimes en silence et quand nous pénétrâmes dans la sublime propriété. Je vais nous chercher des trucs a boire... Et je crois que j'ai du shit dans ma chambre. s'exclama t-elle avant de s’éclipser et de revenir, bouteille à la main et cannabis roulé aux lèvres : Ai de quoi passer deux bonnes heures. Merde quelqu'un a du feu?

Je ne pris pas la peine de répondre et envoyai valser mes talons qui atterrirent dans la piscine. Naturellement. Haussant les épaules, je me dirigeai ensuite vers ma meilleure amie et jaugeai les bouteilles... vodka, sky, heu. Champagne. Certes. Mais t'es conne ! Pourquoi t'as amené du champagne ! Je veux baiser avec un chêne pas m'envoyer des flutes de champagne en parlant bourse ! Je lui arrachai tout de même une bouteille de vodka et en but du goulot une longue et brusque gorgée, avant de grimacer et de me gratter la gorge. Fort. C'est quoi, une smirnoff ? Dégueulasse ! Je préfère encore la bourse ! Bonne joueuse, je pris tout de même du sky, en remplis un shooter et en vidai le contenu d'un trait. Mouais, un shoot de whisky, original. Franchement, c'est de la merde. Une fête sans du rhum c'est toujours pourri. Et j'ai perdu mes talons préférés. Comment voulez-vous que je me fasse des mojitos sans rhum ?! me plaignais-je. Bon, on se baigne ? Sans attendre de réponses, je plongeai dans la piscine, toute habillée. Visiblement l'alcool commençait à faire son effet.

La fête, ne battait pas a son comble... Pas du tout, en fait. Elle était même ennuyeuse, défilé de pouffiasses en tenue de diablesse, un peu d'alcool, rien d’intéressant pour le jeune Anthony qui aime s'amuser. Mais bon heureusement que Miss Hastings l'avait traîner jusqu’à chez elle. Avec l'autre jeune homme et Hanna-Rose. Peut-être qu'ensemble ils allaient s'amuser. Bref sautons les détails. Une fois chez les filles Elisabeth partit chercher de l'alcool. Notre jeune brun l'attendit patiemment. Elle revint après quelque bonne minutes bouteilles a la main et un joint entre les lèvres... Les deux filles entamèrent un mini crêpage de chinions avant qu'Hanna ne saute dans la piscine... Tout habillée. Ok, ouais l'alcool commençait a faire de l'effet sur la jeune femme. Alors que le jeune homme matait presque la jolie blonde -il avait aussi bu-, il se reçu le joint de d'Elisabeth en pleine tronche. Il l’intercepta, et la jeune brune enleva sa robe qu'elle lui jeta aussi et plongea dans la piscine. Rien que pour ça il voulait la suivre. Il retira sa chemise puis son pantalon -il était donc en boxeur noir- et suivit les jeunes filles comme elle lui avaient demander a lui et Oliver. Au passage il s’empara de la bouteille de champagne qu'Hanna venait de dénigrer. Oui le champagne met l’ambiance avec ses bulles -délire intérieur-. Alors champagne a la main il sauta dans la piscine se retrouvant entre les jeunes filles. Il secoua bien la bouteille et l'ouvrit. Faisant bien ressortir les bulles et en projetant sur Hanna et Lizzy. Sourire. Il boit au goulot puis se retourne vers Lizzy.

« Je me rappelle de la dernière fois que je t'ai vu en soutifs! » Lança-t-il non sans sarcasme en fait la dernière fois était particulière et vu qu'il ne cessait de la taquiner... Il lui ressortait souvent cette anecdote. En fait a l’époque ou Elisabeth sortait avec Devon, Anthony était entré dans sa chambre en début de soirée ne sachant pas que Lizzy s'y trouvais, Devon devait s'en aller rapidement pour je ne sais quoi et Tony devait le couvrir. Lizzy sortit donc de la salle de bain et étant surement bourrée, lui sauta dessus. Bien sur il en profita avant de la remettre a la raison. Il se retourna vers Hanna. « C'est mieux quand on baise avec des personnes de son espèce hein, laisse les arbres tranquils... » De l'humour de bourré, il avait déjà entamer sa seconde bouteille.

Cette fête…De la merde. Même l'ancienne voisine de quatre-vingt ans d'Oliver aurait pu faire mieux. Alors que les enguelades commençaient à pointer le bout de leur nez. Soupirant tristement, Oliver attendit enfin un retournement de situation. C'est alors que ladite Lizzy, la jolie brune qui portait un masque, emmena le jeune homme, la tornade blonde et l'autre garçon qui venait d'arriver – un mec que Oliver n'apprécierait sûrement pas d'ailleurs. Elle proposa de les faire déguerpir de là. Owiiii *-*. Oliver – ne se faisant pas prier – les suivit.

Arrivés dans la villa des jeunes colocataires, la petite troupe – si on pouvait appelé cela ainsi – se dirigea vers le jardin, où se trouvait une magnifique. Lizzy indiqua qu'elle allait chercher des boissons, ainsi que du shit. Oliver aime le shit <3. Il se posa dans une chaise longue, attendant patiemment que la brunette revienne. D'ailleurs, elle revint avec du Whisky, de la Vodka et du champagne, ainsi qu'un pauvre joint. C'est comme ça la fête à Londres, Eh béh… Puis, s'en suivit une sorte de "dispute" entre les deux jeunes femmes. Punaise…C'est alors qu'Hanna, après avoir râlé sur l'alcool proposé – elle avait bien raison d'ailleurs – plongea dans la piscine, habillé. Si elle veux après tout…Lizzy fit de même, sauf qu'elle retira sa robe et se retrouva en sous-vêtements. Il faut avouer qu'elle était bien foutue. Même très bien foutue. Oubliant ses fantasmes, il vit que l'autre mec, prénommé Anthony, se dirigea à son tour dans l'eau, sous la demande de la brunette qui souhaitait que les représentants de la gente masculine viennent partager ce moment. Il observa la carrure de celui-ci. Ouais, un baraqué quoi. Et c'est dans ces moments là où Oliver se rappelle qu'il est tout maigre. Certes, il a peu être des abdos, mais lui, c'est une ficelle. Il préféra renoncer au bain et remonta juste les jambes de son pantalon pour s'asseoir sur le bord de la iscnine et regarder les autres jeunes s'amuser. Pour sûr, il ne se mettrait pas à l'eau. En tout cas pas en boxer.

Il se saisit du joint qui se trouvait sur la chaise longue à droite de la sienne et l'enfourna dans sa bouche. Vu que l'alcool était merdique, autant aller chercher sa bouteille de rhum – tiens, Hanna sera contente (8. Il monta dans sa chambre et redescendit avec sa bouteille et de la beus. Oui ,c'était la seule et unique chose qu'il avait réussi à planquer sur lui avant de monter dans l'avion – ne lui demandait pas comment il a fait. Il se remit là où il était et commença à se droguée – enfin, droguer, si on pouvait appeler cela ainsi. Il commença à boire à la bouteille alors qu'il vit Hanna entrain de boire son pauvre Whisky. Gentleman comme il est, il va pas laisser la pauvre femme boire cette merde.

« Hanna, tu veux ? »

Lui dit-il tout en lui tendant la bouteille de rhum. Puis il les regarda. Il a vraiment rien à fouttre le mec à poil d’arroser les filles avec du champagne. Soupirant, il songea à s’en aller. Bawai, c’est la vie. Mais il resta quand même les pieds dans l’eau : Après tout, autant en profiter.

J'esquissai une grimace quand je vis Elisabeth retirer ses vêtements pour me rejoindre dans l'eau : j'avais juste envie de délirer, si elle voulait exhiber sa poitrine et faire un strip-tease - elle jeta carrément sa robe à Anthony. Ok, elle avait peut-être pas envie d'abimer cette robe qui semblait être très couteuse... nan, elle faisait ça pour augumenter la tension sexuelle bien évidemment, je la connais trop. Anthony se déshabilla à son tour et ne put s'empêcher de draguer ma meilleure amie... pas que cela me dérangeait, mais ça pourrissait carrément l'après-fête que j'avais imaginé plus réjouissant. Heureusement, j'entendis Oliver me lancer un : Hanna, tu veux ?

Je lui lançai un regard inquisiteur qui dévia sur la bouteille de rhum qu'il tenait... et sur la beuh aussi. Ravie, je me jetai sur lui, l'embrassai et lui arrachai ses vêtements.Non je déconne. Mais je l'aurais fait avec un gramme de plus. Ou deux. Non, avec un car il est vraiment très mignon. Quoique un peu maigre. Si je foutais sa tête entre mes seins et que je serrais fort, y aurait moyen d'obtenir un traumatisme crânien ? Je lui poserais cette question plus tard. En attendant, rhum ! Je sortis de la piscine telle une sirène... une sirène bourrée avec quelques - centaines - de paillettes dans ses cheveux. Les paillettes c'est pas un bel effet de lumière, non non. Elles se sont détachées de ma veste qui n'était plus qu'une épave... Je jetai cette dernière sur le sol et, m'installant à côté d'Oliver, j'attrapai le rhum et vidai au moins le quart de la bouteille d'une traite - ponctuée de quelques pauses de respiration, j'aime cet alcool mais pas au point de suffoquer pour. J'adressai un sourire rayonnant à mon sauveur et décidai que le moment était venu pour lui poser cette question : T'es vraiment maigre toi... Si je te fous la tête entre mes seins et que je serre, serre et serre y a traumatisme crânien ? J'avais peut-être été vexante, remarque. En temps normal je ne manquais pas autant de classe mais, merde, j'étais en mode quasi-déprime là. J'étais partie à une putain de fête pourrie et quand on se fait un petit after avec trois potes c'est encore pire ! Je décidai d'ignorer la tension sexuelle entre mes deux amis adorés dans la piscine et de plutôt me concentrer sur Oliver. Qui était quand même gentil au fond. Malgré sa froideur et sa manie de draguer des pétasses comme Candice. Enfin, manie manies... je le connais depuis trois heures quoi. Et vu que j'ai jarté sa putain il a pas pu aller bien loin. Il m'en voulait peut-être ? Désolée d'avoir jarté ta pute t'alleur, t'as pas pu baiser à cause de moi. Faut toujours dire ce qu'on pense - je le dis peut-être trop souvent ce truc. Mais je l'applique à la lettre. Tu te baignes pas ? T'es pas aussi baraqué que Tony... mais t'es bien foutu. Avec un gramme de plus je t'aurais trouvé super-musclé. Remarque, avec un gramme de plus je t'aurais aussi violé pour te remercier... Je haussai les épaules avec désinvolture. J'étais surement un peu chiante. Je décidai donc de changer de sujet : Et heu... si tu me parlais un peu toi aussi ?

T'es con putain! Fit Lizzy. Et t'en a profiter, je suis pas sur que ton grand frère appréciera s'il le savait... Bon c’était vrai il en avait un peu trop profité. Mais c'est pas tous les jours que ce genre de meuf super sexy vous saute dessus. Dans le cas d'Anthony la réponse était positive... Mais bon. Il décida de ne pas répondre, parce que bon c’était salaud de vouloir se faire la meuf de son frère. Lizzy lui fit un clin d'oeil et lui prit sa bouteille des mains, elle la finit. Puis le tira en nageant jusqu’à chez les deux autres. Est-ce que ce type draguait Hanna? Il haussa un sourcil... Non entre eux deux c’était fini, qu'elle fasse ce qu'elle veuille.

Elle agita la bouteille en l'air comme si c’était un trophée et déclara d'un ton enfantin: On joue a la bouteille? Sans attendre de réponse elle reprit: Je commence! La elle fit tourner la bouteille. Pourvu que ça ne tombe pas sur moi. En effet Tony aimait bien ce jeu -quand les filles se foutaient a poil- mais pas quand il devait faire un gage trop hard...

La bouteille avait tournée et le malheureux élu était l'autre gars. Il aurait préféré que se soit une fille mais bon... Fout toi a poil ! Lizzy lui avait demander de se foutre a poil. Eh merde... C’était pas amusant et ça lui ferait ni chaud ni froid. Pourquoi le goulot n’était pas tomber sur
Hanna ou Eli... Mais non. Ce soir décidément notre Tony n'avait pas de chance. Il commenta tout de même. T'es pas sympa Eli! Bah ouais fallait se serrer les coudes entre mecs... Fin lui ça le dérangerais pas de se foutre a poil, mais avec les deux filles et personne d'autre.

« T'es vraiment maigre toi... Si je te fous la tête entre mes seins et que je serre, serre et serre y a traumatisme crânien ?

C’est l’alcool qui lui fait dire ça ou bien… Après tout, elle venait de s’envoyer au moins un quart de la bouteille. Oliver la lui pris et but un peu - tout de même, c’était sa bouteille è0é. Il hésita tout d’abord à répondre : après tout, la question était assez débile. Et puis, il en avait marre que l’on se moque de sa carrure. C’est pas parce que il est tout maigre que il faut le charrier. Déjà qu’il en fait un complexe, vas-y ! Rajoute une couche. Il s’apprêtait à lui répondre qu’elle n’avait qu’a essayer pour voir ce qu’il se produirait - quoi que, elle n’avait pas une énorme poitrine, donc pas énormément de risques, elle lui parla d’une « pute » qu’elle avait jarter. Qui donc ? Une pute. Cherchons…Candice ? Oui peut-être. De toute façon, ça n’aurait pas été un bon coup. Alors, autant la remercier. Il but encore un peu de rhum (autant en profiter) et lui répondit. L’alcool allait commencer à faire son effet - rhum+rhum=rhum²=¼ de la bouteille.

« De toute manière c’était pas un bon coup. »
«Tu te baignes pas ? T'es pas aussi baraqué que Tony... mais t'es bien foutu. Avec un gramme de plus je t'aurais trouvé super-musclé. Remarque, avec un gramme de plus je t'aurais aussi violé pour te remercier... Et heu... si tu me parlais un peu toi aussi ?  »
« De toute manière, je ne me baignes presque jamais alors. Te parler de moi ? Que veux-tu savoir ? »

Bah’ il allait pas lui raconter toute sa vie non plus ! En plus, il passerait pour narcissique. Mais bon, encore une fois, Lizzy les coupa en pleine discussion, arrivant avec l’autre mec. Elle décida à jouer au jeu de la « bouteille », jeu auquel Oliver n’avait plus jouer depuis la quatrième. Et jeux qu’il n’appréciait pas du tout. Mais bon, il allait pas faire son chieur et prierais pour que le goulot de la bouteille ne tombe pas sur lui. Chose qui ne marche vraiment jamais. Et de toute façon, il n’eut même pas eut le temps de protester que le « jeu » avait déjà commencé. La bouteille tourna et le goulot se tourna vers…Oliver. ET VOILA. Il n’a vraiment aucune chance au jeux le jeune garçon. Il s’attendit au moins à un peu de clémence de la part de la brune, mais bien entendu, aucune. Les anglais son vraiment des salopard. Elle lui demanda donc de se fouttre à poil. CHOC. Vraiment, tous le monde était contre lui ce soir. Oliver détestait son corps. La musculation ne lui servait à rien en plus. Juste aux abdos. Mais le reste..En plus, il avait pas que des jolies choses sur sa peau.
Il eut du mal à avaler sa salive, et eut un petit temps de réfléxion. Si il ne le faisait pas, on en reparlerait encore, et il se tapperait la honte. Et si il garde son caleçon, ça marche ioi ? Bref.

« D’accord . »

Il enleva donc ses vêtements, gardant juste son boxer sur lui. Pour voir si ça suffisait (8. Il se retourna vers les autres , remerciant au passage Anthony qui avait fait remarquer à Lizzy qu’elle n’était pas sympa. Oui, t’as raison ><. Il posa ses fesses par terre et demanda :

«  C’est bon ou bien encore plus ? »

Il cacha ses bras au passage. Non, il veux pas que l’on voit ses bras.

De toute manière, je ne me baignes presque jamais alors. Te parler de moi ? Que veux-tu savoir ? Je m'apprêtai à répondre quelque-chose de complètement con et tordu, mais heureusement - pour lui, car j'aurais surement été vexante - Beth eut l'idée du siècle : jouer à la bouteille ! En temps normal j'aurais fait une remarque du genre que ce jeu est peut-être interdit par la loi quand on dépasse les quinze ans, mais j'étais en mode bourrée et je me contentai de lui sourire. C'est peut-être gamin mais ça pouvait sauver la soirée qui devenait vachement chiante... enfin, j'aimais bien parler à Oliver. Mais c'était censé être une fête, j'aurais tout le temps de lui parler par la suite... J'attendis patiemment - je déconne - la suite des évènements. Elle fit tourner la bouteille qui désigna Oliver. Ma meilleure amie lui intima ensuite l'ordre de se dévêtir. Quelle fille aux mœurs légères ! J'en étais absolument choquifiée ( en vrai, j'avais hâte de voir si l'organe génital de mon colocataire était aussi mince que ses bras ). Enfin, je le saurais un autre jour car franchement cette question est vitale et ça me gênerait pas de provoquer un " accident " en rentrant dans sa salle de bain pendant qu'il est à poil. Et aussi car quand il se déshabilla - enfin - il garda son boxer. C’est bon ou bien encore plus ?

Si les gens n'osent même plus se mettre à poil... Je haussai les épaules, ce qui devenait un tic chez moi et susurrai : Ça ira. Mais, t'as jamais pensé à te nourrir ? En plus il avait une grosse verrue au genou. Oui bon ça je l'ai inventé par contre. Pourquoi tu veux mettre de la tension sexuelle Beth ? Si tu veux que ça tourne en truc à quatre je suis pas partante. Enfin, en fait si je suis partante. Mais une autre fois. Je pris la bouteille de rhum d'Oliver - il n'y en avait presque plus ! Je la terminai et lançai un regard à Tony qui avait l'air plutôt déçu - surement déçu que ça tourne pas en un truc sexuel ou que ce ne soit pas moi ou Beth qui nous nous sommes mises à poil. Railleuse et décidant de me venger de ces remarques, je lui dis : Genre t'es pas excité, t'aime bien faire des trucs avec des mecs toi ! On a quand même été ensemble et on a fait des trucs bizarres parfois... Je haussai un sourcil : c'était vrai ce dernier truc. Mais j'inventai quand-même, il aime trop les filles lui, pas moyen qu'il nous laisse tomber pour se taper Oliver ! Même si ce dernier est canon quand même, il pourrait faire changer de bord à un hétéro de... vingt ans maximum. Mais peu importe. J'ai une idée... On peut aller en haut ? Je souffre de rester ici dans le froid toute trempée ! Ahouuuuuuuuuuuuuuuuuuu ! hurlai-je soudain comme pour leur démontrer ma souffrance. Sur ces mots emplis de sagesse, j'entrai dans la villa et montai les escaliers en ouvrant une porte au hasard. Visiblement c'était la chambre d'Oliver comme en démontraient les vêtements masculins jonchant le sol et les crayons un peu partout - et il venait d'emmenager ! Venez on squatte la chambre d'Oliver ! Je balançai ma bouteille de rhum par terre qui se brisa, répandant le liquide un peu partout sans parler des morceaux de verre - je tentai de sauver un dessin mais trop tard, le papier était déjà foutu. Je me mis tout naturellement à sauter sur son lit. Le pauvre quand même.